Madame de Arkhamon Chapitre 4

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans

Le début de l'histoire est ICI

Chapitre 4

Le plateau que tient Jeannette contient à l'évidence plusieurs plats, dont certains fument. J'espère juste en secret qu'elle ne transvasera pas les mets directement sur mon ventre, mais qu'elle posera le plateau. Mais mes espoirs s'estompent rapidement en voyant l'autre domestique poser à côté de la table un pied sur lequel Jeannette dépose le grand plateau. Je peux maintenant voir le contenu: deux filets de poisson, une jardinière de légumes et une saucière contenant visiblement un beurre fondu agrémenté de fines herbes. Jeannette se met à genoux à côté de Madame, qui en profite pour la doigter sans vergogne. C'est du moins ce que je peux conclure des mouvements de contentement de son bassin. J'en profite pour regarder un peu mieux Jeannette. Sa tenue est digne des catalogues de lingerie érotique. Petite jupe très courte dévoilant bien haut ses jambes, et dévoilant le haut de ses jarretelles, petit chemisier en mousseline transparente qui laisse voir des seins orgueilleux, et un petit tablier qui cache bien peu de choses. Ce spectacle réveille s'il en était besoin mes instincts.

Pendant ce temps Jeannette commence à dresser la "table". Elle prend avec une pelle un filet de poisson et le dépose sur mon ventre. C'est chaud. Très chaud. Le deuxième le suit peu après. Ses mouvements deviennent hésitants, preuve que Madame sait y faire aussi avec les femmes. Jeannette dépose ensuite les légumes sur mon ventre, en les disposant entre les filets de poisson. Vient ensuite la sauce, qui arrose copieusement le poisson, et coule sur mes flancs, pour mon plus grand déconfort. Jeannette est proche de l'orgasme. C'est précisément à ce moment que Madame retire sa main et la tend à Jeannette pour qu'elle la nettoie, ce qu'elle fait avec beaucoup d'attention, malgré les tremblements, qui la secouent, d'un orgasme qui lui a été refusé. Elle se relève délicatement et reprend son plateau, ce qui me permet de constater aux traces de cyprine le long de ses jambes tremblantes que les attouchements de Madame sont loin de l'avoir laissée indifférente. Le domestique vient reprendre le pied.

"Bon appétit ma chérie.

  • Bon appétit à toi aussi. Quant à toi, si tu ne veux pas que ton ventre s'orne de coupures, tu as intérêt à ne pas bouger. Au fait, ton petit cul chauffe-t-il encore?
  • Non ça va ça s'est calmé." Le temps de me rendre compte de ma faute et il est déjà trop tard. Madame a saisi un de mes tétons et le pince durement entre ses ongles, provoquant un geste de mes bras, qu'elle et Monsieur neutralisent aussitôt en me les bloquant.

"Aurais tu déjà oublie les rudiments élémentaires de politesse?

  • Non Madame.
  • A la bonne heure. Je répète ma question: ton petit cul chauffe-t-il encore?". Elle tord mon téton encore plus fort et m'arrache un cri. "Non Madame". J'ai presque hurlé tant la douleur est forte. Aussitôt le pincement s'arrête, laissant juste une douleur lancinante. Mes bras sont libérés instantanément. "Bien dans ce cas, lève les jambes".

Je sens sa main s'approcher du plug, et commencer à le tirer doucement jusqu'à ce qu'il sorte. Plus rien ne se passe, mais quand je sens quelque chose pointer de nouveau sur mon orifice, et qu'elle me regarde de ce même air pervers, je comprends tout de suite que Jeannette tout à l'heure n'a pas enlevé tous les plats de l'entrée. Il restait la coupelle d'huile. De nouveau cette brûlure atroce se fait sentir dans mon ventre.

"Voila, comme ça tu auras chaud dehors et dedans maintenant." dit-elle d'un air enjoué. Ce faisant elle se saisit de sa fourchette et de son couteau, que je constate être très aiguisé. Mais les mouvements de leurs couteaux sont très dosés, et je ressens à peine l'effleurement de la lame sur mon ventre. Par contre, les dents des fourchettes elles se sentent bien, et je suis parcouru d'une multitude de petites piqûres. D'autant plus qu'ils s'amusent à piquer les légumes un à un et non à les ramasser! A chaque fois qu'une de ses mains se retrouve libre, Madame s'amuse à m'agacer un téton, ou commence à me masturber. Mon ventre commence à me brûler de tous ces démarrages sans concrétisation. Mais Madame me fera jouir quand il lui plaira et comme il lui plaira, cela fait partie de nos accords. Le plat se finit enfin, en me laissant dans un état proche de l'explosion, de par les multiples petites piqûres sur le ventre, sous les fesses et les caresses incessantes de Madame.

En servante (ou esclave) zélée, Jeannette vient aussitôt nettoyer la table et à la demande de Madame repart vers la cuisine pour aller chercher le dessert.

"N'oublies pas le cadeau pour mon jouet si sage et si obéissant... encore que par moments..." dit-elle presque à voix basse, comme quand on pense en parlant. "Bien Madame" répond Jeannette. "Relève les jambes mon beau jouet".

Une fois de plus je m'exécute, et je sens le plug une fois de plus qui me quitte. Mais cette fois, je suis rassuré car j'ai vu Jeannette emmener la coupelle d'huile. La même Jeannette revient d'ailleurs avec un plateau contenant probablement le dessert. Mais le premier objet qu'elle sort de ce plateau me fait frémir. C'est un plug en métal d'assez bonne taille, qui a l'air d'avoir passé ces dernières heures dans un endroit plus que frais.

"Mon pauvre petit chéri, après la douleur cuisante du piment, la froide morsure de l'acier glacé. Mais cela calmera le feu du piment, et cela ira très bien avec la glace" me dit-elle d'une voix mutine et cajoleuse. Mais j'ai appris qu'en général, ce ton est annonciateur des plus grandes perversions. Elle empoigne le plug et le présente sur mon sphincter. Dire qu'il est glacé est un doux euphémisme. Il sort probablement du congélateur!

"Si tu t'inquiètes du fait que le métal puisse coller à tes muqueuses, c'est pour rien. Il a été enduit d'un produit pour éviter ceci. Par contre, ce produit a un petit défaut, mais tu t'en rendras vite compte. Je te laisse apprécier..." Cette fois ci le doute n'est plus permis, et f o r c e m'est de constater que la perversion de cette femme peut parfois atteindre des sommets! Je sens le plug entrer en moi sans trop d'effort, et immédiatement la morsure du froid assaille mes intestins. Puis peu à peu une autre morsure vient rejoindre celle du froid. Plus sourde, plus vrillante, plus sournoise et surtout plus forte. Bientôt mon bas-ventre ne sait plus s'il souffre du froid ou de cette étrange brûlure. Pendant ce temps, Madame m'a rabaisse les jambes, et Jeannette dépose sur mon ventre quatre boules de glace qu'elle nappe d'un généreux coulis de chocolat chaud. L'impression est saisissante après la chaleur du plat précédent. Le chocolat coule une fois de plus sur mes flancs. Jeannette tend alors à Madame et Monsieur une cuillère.

"Mais Jeannette, ces cuillères sont gelées, regarde elles fument tellement elles sont froides! Il va falloir les réchauffer maintenant". Je me prépare à ouvrir la bouche , d'autant plus que je vois Madame et Monsieur approcher leurs cuillères de ma bouche. Mais c'est sur mes tétons qu'ils décident de réchauffer leurs cuillères en appuyant bien et en les bougeant pour que le métal ne congèle pas la peau et ne se soude. Je ne peux réprimer un mouvement d'évasion, immédiatement sanctionne par Madame, qui se saisit de mon sexe et le tord durement.

"Je te rappelle, mon petit jouet, que tu es ici pour mon plaisir et uniquement pour cela. Et si mon plaisir passe par ta douleur, alors tu souffriras! Est-ce clair?

  • Oui Madame.
  • Bien alors demande-moi de te faire mal!
  • S'il vous plait de me faire mal Madame, je vous prie de bien vouloir le faire Madame.
  • Voila qui est mieux..." dit-elle en reposant sa cuillère sur mon téton, et en s'amusant à passer le tranchant légèrement denté sur mon téton en appuyant bien, comme si elle voulais le découper.

Pendant ce temps Monsieur continue de son côté. Les cuillères ayant atteint une température acceptable, ils se mettent à manger leur glace. Le dessert est vite parti, et Madame fait signe à Jeannette en lui disant qu'elle reprendrait bien un peu de sauce, Jeannette verse alors un complément de sauce sur mon sexe, et le chocolat coule doucement sur mon ventre. Cette fois, le visage de Madame se fait l'expression la plus pure de la volupté et de la gourmandise.

"D'habitude, ça ne se fait pas de lécher la table, mais la c'est trop tentant!

  • Fais donc ma chérie, tout est pour toi."

Et aussitôt elle se penche et commence à laper le chocolat sur mon ventre. Les sensations sont délicieuses, et je sens mon sexe qui se redresse immédiatement. Elle continue à me lécher, et je la vois se diriger lentement vers mon sexe enduit de chocolat. Elle le prend dans la bouche sur toute la longueur, et je sens mon gland buter contre le fond de sa gorge. Mais elle semble être très habituée, car aucun mouvement ne trahit un quelconque inconfort. Tout au contraire. Elle feule de plaisir et commence à me sucer d'une façon divine! Si elle continue comme ça, elle ne tardera pas à avoir un complément au chocolat. Mais cette femme divinement experte s'en rend compte et arrête juste avant le point de non-retour. "Ne rêve pas petit esclave, comme je te l'ai dit, tu jouiras quand je le voudrai bien, et je suis suffisamment experte pour te contrôler." Je crois sans aucune difficulté cette dernière phrase, tant il semble qu'elle connaisse les émotions masculines. Elle reprend ses arabesques sur mon ventre, tout en me tordant un téton, celui-là même qu'elle avait agressé tout à l'heure. Dans nos échanges, je leur avais signalé mon goût et la sensibilité de cet endroit, et pour l'instant je ne suis pas déçu, même si je sais que ce qui m'attend sera pire. Bien pire…

Mon ventre est maintenant presque propre, et Jeannette vient avec une serviette chaude pour le nettoyer correctement, et un chiffon sec pour le sécher.

"Eh bien après ce repas délicieux, je crois que le moment de la punition est arrivé.

  • Oui cela me parait une bonne idée! Jeannette, apporte la boîte!
  • Bien Monsieur.
  • Quant à toi, relève toi et reste debout."

Un instant plus tard, jeannette arrive avec une très belle boîte en bois ouvragée, et la dépose sur la table basse. Elle ouvre la boîte et je constate avec une grande appréhension ce qui va m'arriver. Le regard de Madame croise le mien, et je constate que c'est avec un plaisir incommensurable qu'elle confirme toutes mes craintes. Dieu que cette femme peut être perverse! Les prochains moment vont être douloureux, mais je n'ai à m'en prendre qu'à moi-même, je savais que je serais noté, et mes mauvaises notes sont synonymes de forte punition. Encore une chance que j'étais débutant! Mais le contenu de cette boîte me revient à l'esprit. Deux petites ventouses, un flacon, très certainement de l'a l c o o l, de la ficelle, des poids, et surtout une grande quantité d'aiguilles dans leur pochettes stériles. Des compresses stériles agrémentent le tout. Je vois aussi des pinces japonaises, celles qui se resserrent au fur et à mesure du poids qu'on y accroche.

Madame se saisit des peux petites ventouses. Elle s'approche de mon thorax avec une moue gourmande, approche sa bouche d'un de mes tétons et commence à le lécher, le titiller, ce qui a pour effet de le faire gonfler. Elle passe sa langue tout autour, et ensuite pose la ventouse dessus. Elle presse la poire, et au moment ou elle la relâche, la sensation d'aspiration se fait sentir. Je peux voir mon téton gonfler et prendre des proportions gigantesques dans le conduit transparent. Bientôt le second est traité de la même façon et Madame se recule pour contempler d'un air satisfait son oeuvre. Je reste ainsi pendant quelques minutes, pendant lesquelles Madame et Monsieur, face à moi, s'allongent sur le canapé et commencent à se caresser négligemment, comme pour passer le temps. Au bout de quelques minutes, ils se lèvent et s'approchent de moi. Madame saisit les ventouse, et d'un coup sec les arrache, provoquant un fort mouvement de mon corps vers l'avant.

"Quand Monsieur te dit de ne pas bouger, tu ne bouges pas. Je ne crois pas qu'il soit besoin de rajouter à ta punition, elle devrait déjà être suffisamment cuisante je crois non?

  • Oui Madame...
  • Bien. Je vais donc considérer que ce mouvement était involontaire.
  • Merci Madame.
  • Oh je ne le fais pas pour te faire plaisir, je le fais car la punition serait trop forte pour toi, tu n'es pas encore prêt à jouer toutes les partitions que je peux écrire sur ton corps petit jouet..." Ces paroles me glacent d'effroi, tant son ton est glacial et sadique. Devant de telles parole, j'ose à peine imaginer ce qu'elle a déjà pu endurer. Pourtant, son corps splendide ne semble porter aucune cicatrice…

"Tu crois que nous aurons la place?" demande-t-elle à Monsieur en jouant avec un de mes tétons qui a pris la forme d'une grosse excroissance.

  • Je ne pense pas en effet. Ils sont encore trop petits. Il va falloir penser à un remplacement. Peut être les poids?
  • Oui ça me paraît une bonne idée en effet. Donc pour chaque aiguille que nous n'aurons pas la place de mettre, ça sera un poids de 100 grammes" w:st="on">100 grammes en remplacement. Combien d'aiguilles mettrais-tu toi?
  • Personnellement, je pense qu'on peut en mettre 4 en carre sur les auréoles, deux en croix dans le téton, et une perpendiculairement à partir de la pointe. C'est celle-là qu'on chauffera. Pour le reste ça sera des poids."

Dans ma tête je fais le calcul. Il me manquait 12 points pour atteindre la perfection, ce qui voulait dire 12 aiguilles dans chaque téton. Il n'y avait effectivement pas la place. Cela fait donc 7 aiguilles dans chaque téton, plus cinq poids de 100 grammes accrochés. Cela promet d'être intense, surtout sachant la façon de planter les aiguilles , façon dont nous étions convenus lors de nos échanges préparatoires...

Madame prend une compresse stérile, l'imbibe d'a l c o o l et désinfecte délicatement mes tétons. Puis elle se saisit d'une des aiguilles que son mari lui a obligeamment décachetée, l'approche de mon téton et pose la pointe sur l'auréole. Je commence à serrer les dents et les fesses, sentant au passage un peu plus le plug. Son regard prend un air que je ne connais que trop bien maintenant, même s'il semble atteindre son paroxysme. Elle commence à planter l'aiguille, et comme convenu, le fait très lentement, millimètre par millimètre. La douleur est inouïe! Bien plus forte que quand je le fais-moi-même. Certainement parce qu'elle va très doucement! Je manque de défaillir et mes jambes sont à deux doigts de se dérober sous moi.

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